Depuis vendredi dernier, Antoine est encore outré par ce qu’il a découvert dans l’un des produits qu’il venait d’acheter dans l’une des supérette Proxi du groupe Carrefour. Cet ingénieur de 36 ans qui venait d’emménager dans le XIVème arrondissement de la capital à eu le malheur de découvrir une souris morte de trois centimètres dans une boîte de conserve de haricots verts.
«Je voulais concocter un bon petit dîner, sain et équilibré, à ma compagne et ma fille de 2 ans, raconte le père de famille. Et voilà qu’au fond de ma casserole, dans laquelle je venais de verser les légumes, je remarque une étrange masse sombre. Lorsque j’ai compris ce que c’était, j’ai été submergé par un sentiment de dégoût immédiat, j’avais l’impression d’être souillé».
Un nouveau scandale après l’affaire du cheval
La victime très écœuré par ce qu’il découvre dans la casserole s’empresse de tout jeter, l’animal y compris dans un sac en plastique qu’il abandonne au fond de son balcon. Après plusieurs jours de réflexion, Antoine décide de ne pas en rester la et avertit le service consommateurs de la marque Proxi. Un employé est venu ce jeudi après midi récupérer le sac en plastique contenant la preuve qu’un animal mort autre que les aliments était bien présent dans la boîte de conserve. L’homme avoue même qu’il aurait préféré y trouver du cheval que de faire face à une souris morte.
De son côté, Carrefour France a ouvert une enquête pour comprendre «comment ce corps étranger a pu passer au travers de tous les contrôles d’hygiène malgré le processus hyper strict observé par le groupe». D’après les premiers éléments de l’enquête, le fournisseur de ces boîtes de haricots verts serait une PME Française qui serait basé en Dordogne et plus particulièrement à Bergerac.
La chaîne du magasin a toutefois fait parvenir à Antoine un panier remplit de produits frais. Celui-ci contenait du saumon, du jambon, du concombres, du fromage et même une bouteille de champagne pour s’excuser de la mauvaise surprise que contenait cette boîte de conserve. «Heureusement qu’ils ne m’ont pas offert de boîtes de conserve» a répondu la victime. Depuis l’homme ne peut plus ouvrir de boîtes de conserve et n’est pas prêt à retenter la mauvaise aventure qui risque bien de le marquer encore pour plusieurs semaines.