Depuis le début du mois de mars, plusieurs petits séismes se sont déclenchés au États-Unis. Notamment dans le parc de Yellowstone où un séisme de magnitude 4,8 a eu lieu le 30 mars.
Mais ces secousses se produisent régulièrement, d’après le service géologique aux États-Unis, l’activité sismique est normale. Chaque année, il se produit entre 1000 et 3000 séisme d’une magnitude allant de 3 à 5.
En 4 jours, 25 tremblement de terre ont eu lieu dans le parc naturel. Selon le National Géographic, le supervolcan tremble et se déforme causant une modification du terrain, ce phénomène peut se traduire par deux hypothèses : soit une ronflement cyclique, soit une preuve d’une future éruption.
Les scientifiques n’ont pour l’instant aucunes certitudes, ils sont incapables de prédire quand le volcan va exploser. Ils savent qu’il est entrer en éruption il y a 2,1 millions d’année et que c’était la plus grosse. La dernière s’est produite il y a 640 000 ans.
Ce qui incite les géologues et les vulcanologues à le surveiller de près, c’est la théorie qui implique que les éruptions se produiraient tous les 700 000 ans mais des données manquent encore pour confirmer.
Mais le phénomène qui a déclenché la curiosité du public n’est pas l’activité sismique mais la fuite des animaux dans la zone du parc naturel de Yellowstone. Depuis un mois un grand nombre de blogueurs américains postent des photos et des vidéos montrant des bisons courant rapidement dans la direction opposé au volcan.
D’autres animaux s’enfuient du parc comme par exemple les wapitis, selon le décompte annuel un quart sont manquants. D’autre part des émanations d’acides venus du sols auraient causés des blessures aux animaux.
Nombreux sont ceux qui y voient une alerte, un avertissement qui prédirait la catastrophe. Mais il pourrait tout aussi bien s’agir d’une migration prématurée des animaux dû au dérèglement climatique.
Les observateurs et experts craignent que les séismes récurrents dans cette région ne réveil le monstre endormi. Ils ont constaté la disparition d’un quart des élans et ils ignorent si c’est un déclin du troupeau ou si d’autres facteurs ont joué un rôle. Autre signe inquiétant, les rejets d’hélium sont aujourd’hui 1000 fois supérieur à la normale.
Ce qui est certain, c’est qu’une éruption du volcan serait dévastatrice. Elle serait brutale et incompréhensible et pourrait tuer 87 000 personnes sur le coup.
Les États-Unis seraient complétement détruit, les cendres recouvriraient toute la côte ouest et les tremblement de terre pourraient anéantir toute la région. Ce qui paralyserait l’approvisionnement alimentaire de la planète entrainant des répercussions mondiales selon les scientifiques.
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