Cela fait cinq ans que Nour conduit son taxi. Elle a enclenché son compteur kilométrique juste avant la révolution égyptienne, pour proposer des courses partout au Caire, rapporte le Guardian.
La seule différence entre son taxi jaune et celui de ses collègues, exclusivement conduits par des hommes, c’est qu’elle appartient à une toute petite communauté féminine qui prend le volant au Caire dans un secteur professionnel, apanage masculin, ne manquant pas de les toiser.