L’ homme suspecté du vol du dossier médical de Michael Schumacher était incarcéré à Zurich en Suisse. Il était cadre dans une boite appelée Rega, c’est une société de secours aérien suisse, une enquête était ouverte à l’encontre de cette société pour retrouver le voleur. C’est cette entreprise qui avait organisé le rapatriement de Schumacher lorsqu’il a eu son accident de ski.
Le suspect a été retrouvé par un agent ce matin, il s’était pendu !
Il était en cellule depuis hier, apparemment il n’a pas supporté d’être enfermé. Une enquête a été ouverte pour comprendre comment un homme enfermé dans une cellule a fait pour se pendre. D’après le procureur, aucune personne n’est intervenue. Pour l’instant, rien n’est confirmé, une enquête a été ouverte.
Ce que l’on sait en revanche, c’est que l’homme a été interrogé par le juge hier, il devait être entendu aujourd’hui, lors de sa rencontre avec le magistrat il avait tout nié en bloc. S’il était innocent, de quoi avait-il si peur pour mettre fin à ses jours ?
Le ministère public de Zurich avait ouvert une procédure « contre inconnu pour violation du secret professionnelle ». La France avait envoyé une demande d’entraide judiciaire et la famille a envoyé une plainte contre la société Rega.
Mais l’homme qui était enfermé dans cette cellule était-il le bon coupable ?
L’auteur du vol se faisait appelé virtuellement « kagemusha » qui signifie en japonais « l’ombre du guerrier », héros d’un film japonais. C’est avec ce pseudonyme qu’il a contacté les médias par mail pour vendre le dossier 50 000 euros, pour être plus crédible il n’avait pas hésité à mettre des extraits. Un homme qui prend un tel nom peut-il vraiment mettre un terme à sa vie ?
Voilà beaucoup de questions qui vont intriguer les enquêteurs, pour l’instant le dossier médical du grand sportif reste introuvable. Au dernières nouvelles, Michael Schumacher se remettait plutôt bien. Le porte-parole de la famille de Schumacher, Sabine Kehm a envoyé un mail :
« Nous sommes sans mots et profondément choqués ».
Dans le communiqué du procureur, il souligne que le suspect « doit bénéficier de la présomption d’innocence » comme une seule personne était impliquée dans cette affaire le parquet a décidé de « ne fournir aucune indication qui permettrai d’identifier le suspect ».
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