Les médias américains ont fait part d’une information concernant une tentative de piratage de la Maison Blanche, organe central du pouvoir américain. Un incident s’est produit sur le réseau, une activité anormale qui a mis la puce à l’oreille du service de sécurité américain. La voix de la Russie affirme que les médias américains sont persuadés que des russes sont responsables. Des opérations sont menées pour réparer les problèmes du réseau, aucunes informations confidentielles n’a été affectées. D’après un responsable anonyme :
« Au cours de l’évaluation de récentes menaces nous avons identifié une activité préoccupante sur le réseau non confidentiel du Bureau exécutif du président. Une telle activité est quelque chose que nous prenons très au sérieux. Dans cette affaire, nous avons pris des mesures immédiates pour évaluer et réduire l’activité ».
Le FBI, la NSA et les services secrets américains mènent l’enquête pour retrouver les intrus informatiques. Auparavant, un autre opération pirate a été repérée, d’après un membre de l’administration américaine protégé par l’anonymat. Le témoin a raconté que lors d’une évaluation testant les capacités de défenses informatiques, une activité suspecte a été détectée sur un réseau non confidentiel du département exécutif de Barack Obama.
Le 9 octobre des banques américaines étaient la victime de piratage elles-aussi. L’un des hackers avait réussi à déjouer le système de sécurité de JP Morgan et a volé des milliers de données sur les clients de la banque.
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