Si l’on se penche avec attention sur l’étude publiée par le (très sérieux) British Medical Journal, les héros des dessins animés sont beaucoup plus sous la menace concrète de se faire tuer que les personnages principaux des films destinés à un public adulte, rapporte le Huffington Post.
Les chercheurs Ian Colman et James Kirkbride pointent du doigt la dangerosité que cela peut représenter : « Au lieu d’être des alternatives inoffensives et plus douces aux films d’horreur et aux drames, les dessins animés pour enfants sont, en fait, un foyer de meurtre et de désordre ». Pour encadrer leur étude, ils ont ouvert une grande parenthèse historique entre 1937 (Blanche-Neige et les Sept Nains) et 2013 (La Reine des neiges).
Les exemples ne manquent pas et nous allons vous en distiller quelques uns :
Pocahontas (1995), avec ses coups de fusil à n’en plus finir et dont la fin est marquée par la blessure par balle du héros John Smith.
Mulan (1998), où les premiers rôles tombent sur un village dévasté par les Huns et dont l’héroïne est blessée au cours d’un combat.
Généralement, ce sont les parents des personnages principaux qui ouvrent le bal funèbre des dessins animés. On pense à la maman de Bambi, Mufasa, le père de Simba, dans Le Roi Lion, la maman de Némo, les parents de La Reine des neiges…
Les morts ne tarissent pas et ont un impact émotionnel indéniable trop lourd sur nos chers chérubins !
Crédits Photo : Creative Commons
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