Alors que Pascal Terrasse, député et conseiller général de l’Ardèche, se rendait tranquillement à une réunion publique à Saint Montan, il a été agressé par un homme âgé d’une quarantaine d’année. L’élu a pris une gifle en pleine poire et un coup de tête juste devant la mairie du canton, il se rendait à une réunion publique lorsqu’il a été frappé. Plus de honte que de mal pour le député qui est intervenu normalement pendant la réunion qui a suivie. Une fois cette formalité terminée, la suite se passe à la gendarmerie où le député à porté plainte. L’agresseur a été rapidement appréhendé, les causes, les raisons qui l’ont poussé à commettre un tel acte sont obscures. Il a toutefois crié une phrase qui pourrait révéler le mobile de cet homme :
« Je viens éradiquer le réseau maçonnique international ! »
Cette phrase nous emmène vers les francs-maçons, un groupe de personnes qui cultivent habituellement le secret mais depuis quelques mois certains noms connus de personnalités dirigeantes sortent à la lumière. En janvier 2013, le Nouvel Obs publiait un article nommé « Ces francs-maçons qui nous dirigent », dans cet article un certains nombre de personnalité de majorité de gauche pour mettre en avant l’appartenance à ce groupe de nombreux élus. Parmi les nom cités, on retrouve la victime du jour Pascal Terrasse qui ferait partie du groupe « assemblées initiées » en compagnie de Claude Bartolone, Henri Emmanuelli, Pascale Crozon, Brigitte Bourguignon, Odile Saugues et Jean-Marie Le Guen.
Le Nouvel Obs n’est pas le seul journal a parlé des liens entre politique et groupes influents. Sur Internet, plusieurs sites d’information alternatives font tourner des listes de noms de personnalités politiques venant de droite comme de gauche qui font partie de la société franc-maçonnique. Il est fort possible que l’agresseur n’est pas tenu compte de l’être humain qui se cache derrière le secret. Pascal Terrasse accuse le coup avec en prime un œil au beurre noir et une lèvre coupée. Selon lui, ce n’est pas une action anti-politique :
« Ce n’est pas quelque chose de politique ».
Le Premier ministre, Manuel Valls a exprimé son soutien au député et s’est dit indigné, de même que Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du parti socialiste qui demande un châtiment juste :
« Je souhaite que l’agresseur de Pascal Terrasse soit justement châtié et que Pascal Terrasse puisse poursuivre normalement la campagne pour les élections départementales ».
Crédit photo :wikipedia / Toutaitanous
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