Le café serait-il un précieux allié concernant l’atténuation des troubles de l’érection ? Mieux encore, il favoriserait grandement cette dernière permettant au sexe dit fort de ne pas paraître faible via une débandade qui met souvent les hommes dans l’embarras (la redoutée « panne sexuelle ») ! Ce sont des chercheurs de l’université du Texas aux Etats-Unis qui sont parvenus à cette conclusion pour le moins surprenante : les résultats de leur étude (qui redonnent la pêche à la banane s’épluchant et se refermant à volonté de la gente masculine) ont été publiés dans la revue Plos One ! les hommes qui boivent deux à trois tasses de café par jour, soient des doses oscillant entre 85 et 170 milligrammes de caféine, auraient 42% moins de chance de développer des troubles de l’érection du pénis, par rapport à ceux qui s’abstiennent de consommer cette nouvelle potion magique mise en lumière et dans laquelle sans tomber dans l’excès comme Obélix, il faudrait goûter modérément et régulièrement comme Astérix, pour assurer lors des ébats, histoire de ne pas pas paraître gourde au lit !
L’étude a été réalisée sur un panel de 3724 hommes de plus de 20 ans, ne présentant aucune pathologie, comme le cancer de la prostate par exemple, qui aurait pu interférer sur leurs capacités érectiles. Cet échantillon de population a été divisé en cinq groupes de consommateurs de café, allant de zéro tasse par jour pour le groupe 1, à plus de 300 milligrammes de caféine par jour pour le groupe 5. Les scientifiques, qui ont trouvé la dose quotidienne idéale de 85 à 170 milligrammes, déjà évoquée plus haut, expliquent ainsi pourquoi elle aurait tant d’effets bénéfiques pour le sexe turgescent : la caféine aurait des effets relaxants sur les corps caverneux du pénis, ce qui aurait pour effet d’augmenter l’afflux sanguin dans la verge et donc d’en stimuler grandement l’érection ! Toute consommation excessive ne fera pas de vous, pour autant, un amant assurant à 100% tout le temps : trop de café aurait plutôt, pour effet, de vous exciter dans le mauvais sens du terme, à savoir l’énervement psychologique !