A chaque rentrée Assassin’s Creed nous offre un nouvel opus avec de nouvelles époques, de nouveaux lieux et parfois un nouveau gameplay. En octobre 2015, nous passerons de la révolution française d’Assassin’s Creed Unity , à l’explosion de l’industrie britannique pendant l’ère victorienne. Focus sur ce nouveau triple A.
L’époque d’Arthur Conan Doyle
Ubisoft s’est une fois de plus entouré d’historiens pour offrir aux joueurs une expérience des plus réalistes en terme d’immersion. Les différentes vidéos et bandes annonces mettent particulièrement en avant, comme pour Paris dans ACU, l’époque victorienne situant l’histoire vers la fin du 19éme siècle. Le temps des syndicats du crime, des calèches, des panneaux publicitaires et des premiers téléphones est arrivé et le bac à sable devrait s’élargir. Ubisoft annonce en effet une map plus grande que Paris. Belle prouesse si le studio tient ses engagements quand on sait qu’à cette époque le Royaume Uni était surpeuplé. A voir encore une fois, si sur consoles de salon, cela ne vas pas se traduire par une baisse de framerates intempestive. La prouesse technique étant tout de même ambitieuse on peut s’attendre à une claque visuelle indéniable. Au détour d’une rue de Londres, Charles Dickens et autres personnalités emblématiques de l’époque, à l’image d’un Léonard de Vinci dans AC2, viendra vous apporter des aventures supplémentaires sans oublier bien sûr les DLC.
Un assassin à Londres
Evoluant librement dans la ville de Londres, vous incarnerez Jacob et sa sœur Evie suivant les besoins du scénario. Comme dans the Witcher 3, entre Ciri et Geralt, l’alternance entre ces deux personnages vous fera avancer dans l’histoire. Un arsenal donc différent pour chaque héros dans un terrain de jeu immense. Pistolets, poings américains ou cannes dissimulant une épée, seront vos meilleurs amis, sans oublier le grappin qui facilitera sans aucuns doutes vos déplacements. Grâce également aux calèches, des courses poursuites rimant avec action feront des rues une nouvelle aire de jeu. Le système de combat quand à lui a une nouvelle fois était revu à la hausse. Si les joueurs se plaignent souvent de combats trop faciles D’AC, les développeurs ont retranscrit des combats plus fluides et exigeants surtout en matière de contres. Connaissant les recettes d’Ubisoft on peut s’attendre aussi à une gestion d’assassins par l’intermédiaire des syndicats du crime.
Les fans de la franchise ne seront pas déçus de ce nouveau volet des assassins même si pour les joueurs les plus anciens, une éternelle histoire contre les templiers les fera prendre aux conditionnels ce ACS une fois la découverte de Londres passée. Encore un hit tout de même pour cette fin d’année pour Ubisoft. Mais est-ce le dernier opus ou continuons nous de nous approcher de notre époque et retrouver un jour un assassin au 21éme siècle ?