L’accident nucléaire majeur de Fukushima, qui a eu lieu le 11 mars 2011 au Japon, suite à un séisme de magnitude 9 sur l’échelle de Richter, ayant provoqué un tsunami hors normes, est classé au niveau 7 (le plus élevé) de l’échelle internationale des évènements nucléaires, ce qui le place au même degré de gravité que la catastrophe de Tchernobyl, s’étant déroulée le 26 avril 1986 en Ukraine, compte tenu du volume des rejets radioactifs.
Et l’impact sur l’environnement commence à faire parler de lieu avec comme point de départ une simple photo, d’une marguerite mutante, postée sur le compte Twitter de @san_kaido et qui s’est très rapidement répandue, exhibant les malformations aussi aberrantes que surprenantes de la fleur en question, avec au final un buzz épidémique, plus par curiosité, nous le pensons, que comme révélateur notable d’un éveil des consciences.
C’est délicieux la marguerite au becquerel. après : voici les marguerites de Fukushima http://t.co/MlMUirH2uW pic.twitter.com/ScXf1hWCgm”
— Goursaho (@goursaho) 11 Juillet 2015
Cette découverte ne doit pas engendrer un vent de panique car si malformation, il y a, ce qui est incontestable, cette dernière peut découler d’un autre facteur ou d’un cumul de plusieurs d’entre eux ! Les pistes scientifiques à creuser, autre qu’une radioactivité massive, comprennent un faisceau très large, allant d’une mutation d’origine naturelle, en passant par des changements hormonaux, ou un stress environnemental ! Affaire à suivre…
Voui, un stress causé par la pression médiatique incessante du lobby écolo qui voudrait nous faire croire qu’il y a eu un accident à Fukushima et que nous sommes sans nouvelles du corium de 3 réacteurs qui soit-disant auraient explosés. C’est que c’est sensible, les marguerites. Nucléaire, je t’aime, un peu, beaucoup, passionnément…à la folie!