La conférence sur le climat, sous l’égide des Nations Unies et qui se tiendra à Paris, du 30 novembre au 11 décembre, ne manquera pas d’évoquer, ce qui nous déshonore en tant qu’être conscient mais pas consciencieux des questions environnementales : la notion de réchauffement climatique (hausse trop élevée des températures moyennes) qui prend des proportions effarantes que nous ne pouvons plus esquiver désormais.
L’homme est en grande partie responsable de ce bouleversement climatique (mais la nature a aussi son rôle à jouer) qui va crescendo de décennie en décennie et cela induit la fonte des calottes polaires et des glaciers. Comme vous avez déjà pu le voir dans des films catastrophes et/ou d’anticipation, une montée progressive des eaux est plus que jamais d’actualité et la conséquence la plus directe d’un tel amincissement.
La fonte du Groenland (qui dépend du royaume du Danemark et couvre 2 166 000 kilomètres carrés) vient tout juste d’être dévoilée sous un autre jour. Après les images satellites qui se portaient caution de la bonne santé ou non de cette immense étendue glaciaire, un photographe du New York Times, revient d’un périple scientifique de 3 jours avec des images époustouflantes filmées par un drone avec les aléas du froid ! Les images rappellent la photo choc de Kerstin Langenberger de l’ours polaire.