Stéphane Plaza et Arnaud Gidoin réunis dans une nouvelle pièce de théâtre : « Le Fusible »

Le fusible / Capture Youtube

Après l’immense succès à Paris et en tournée du spectacle « À gauche en sortant de l’ascenseur », Stéphane Plaza revient sur la scène du Théâtre des Bouffes Parisiens dans une création originale « Le FUSIBLE ». Cette comédie délirante et échevelée est la seconde pièce écrite par Sylvain MEYNIAC dont la première oeuvre « Hier est un autre jour ! » avait été jouée un an, dans notre théâtre. À la mise en scène, nous retrouverons avec bonheur l’impétueux et inventif Arthur JUGNOT.

Arnaud GIDOIN formera avec Stéphane un tandem irrésistible secondé par une brillante palette d’acteurs Philippe DUSSEAU, Gaëlle GAUTHIER, Juliette MEYNIAC et Irina NINOVA. Dès le 16 janvier 2016, le rire sera donc au rendez-vous au Théâtre des Bouffes Parisiens.

LE FUSIBLE

Avec « Le Fusible », j’ai voulu avant tout écrire une Comédie et essayer de faire rire les gens. J’ai intentionnellement voulu partir du postulat classique du Vaudeville : le mari, la femme, la maitresse. Mon but étant de faire une comédie moderne en conservant les personnages mythiques de la comédie de Feydeau que j’admire tant…

Faire du théâtre d’hier, un théâtre d’aujourd’hui… sauf que les codes ont changé. Nous sommes à l’époque de l’Iphone, de l’Ipad, nous ne vivons plus, nous I-vivons ! Dans notre monde tout est « I-quelque chose », tous géo-localisés et joignables à n’importe quel moment… Alors comment garder la légèreté et la force comique de « L’hôtel du libre échange » avec un téléphone portable…?

Pour essayer d’atteindre ce I-but et étant amoureux des situations absurdes, je me suis appuyé sur deux thèmes : La mémoire et la naïveté humaine. J’ai voulu mettre un personnage absolument maître de lui même, de ses émotions et de ses choix dans un contexte et une situation où il n’aurait d’autres moyens que de s’appuyer sur cette naïveté pour s’en sortir…

Albert Einstein disait : « Il y a deux choses qui sont infinies dans le monde : l’Univers et la Bêtise humaine… Sauf que pour l’Univers je n’en ai pas la certitude absolue. »

Et moi je rajouterai juste : « L’amour est la seule chose qui reste quand on a tout oublié »…

Vous avez tous les ingrédients de mon histoire. Enfin si je me rappelle bien ! J’espère sincèrement que vous vous amuserez autant que moi j’ai eu plaisir à l’écrire.

Jérémy Renard: