50….., 50 ans que le plus classe et séducteur des agent secrets sauve le monde ! Et 50 ans ça se fête comme il se doit. C’est ce qu’ont bien compris les organisateurs de l’exposition James Bond situé au grand hall de la Villette en lui dédiant tout une exposition qui nous permet de retrouver gadgets, costumes et plusieurs objets cultes de la saga.
Le ton est donné d’entrée de jeu puisque après avoir admiré deux légendaires Aston Martin, dont la première utilisée par 007, celle de Goldfinger, nous entrons dans le cœur de l’exposition par un canon de revolver. De la, le fan le plus inconditionnel comme le moins familier à cet univers trouverons de quoi se faire plaisir.
Quoi de plus enivrant qu’être accueilli par la femme recouverte d’or par Goldfinger ! Puis comme promis la collection des objets cultes rassemblés ici commence de manière tonitruante avec le célèbre pistolet d’or ou le chapeau haut de forme meurtrier d’Odjobb. S’en suivra une immersion dans le bureau de M, le chef des services secrets, puis une autre salle nous permet d’en apprendre plus sur Ian Fleming le créateur de James Bond.
Mais l’émerveillement prend tout son sens lorsque nous rentrons dans la salle dédié à « Q » et donc aux gadgets de 007. On peut y découvrir entre autres les fameuses montres utilisés par Bond (dont la montre piton ou la montre qui dévie les balles) ou le « bateau de pêche » de Q grandeur nature du « Monde ne suffit pas. »
Un peu plus loin la plongée dans l’univers «Bondesque » continu on entends cette phrase culte : Vodka Martin, au shaker pas à la cuillère. Nous sommes dans un casino aux airs de salle de gala, spécialement recrer pour l’occasion. Quelle classe ! Et qui dit casino dit tenue de soirée. Plus d’une dizaine de smoking de Brosnan, Craig ou Lazenby sont présenté ici.
Mais James Bond sans une galante compagnie ce n’est plus vraiment James bond…
Donc, dans ce luxueux cadre sont aussi exposées les robes de James Bond girl portées notamment par Sophie Marceau un ou Léa Seydoux. Pour l’une d’entre elle près 60000 cristaux swarowski ont été incrustés à la main !
Enfin que serait un héros comme James bond sans ses méchants ? Toute une galerie leur est consacrée.
On y retrouve les mâchoires en acier de Requin ou encore quelques gadgets comme les chaussures lames de « Bons Baiser de Russie ». Sans compter leur costume haut en couleur retranscrit ici. Mention spéciale à l’armure de Gustave Graves de « Meurs un autre jour ».
On aurait aimé voir un peu plus de véhicules (quoique de très bonnes surprises soient présentes) mais l’univers de bond est fidèlement retranscrit ici et l’on arriverait presque à se sentir dans la peau du personnage, smoking et fille en moins.
Attention toutefois cette exposition se termine le 04 septembre