Ce lundi, les bleus ont fêté leur grand retour sur Paris avec un défilé sur les Champs-Élysées devant une foule de plusieurs milliers de spectateurs. Un incident est toutefois survenu au cours de la descente du bus impériale mais celui-ci est passé inaperçu aux yeux des policiers et des chaînes de télévision qui retransmettaient ce grand évènement.
[dropcap]C[/dropcap]’est un incident qui est passé inaperçu par les chaînes de télévision et les forces de l’ordre mais qui aurait pu blesser des joueurs de l’équipe de France lors de leur passage sur les Champs-Élysées ce lundi. Alors que le bus impériale des champions du monde était en train de parader sur la plus belle avenue, un homme a jeté un projectile en direction des bleus, ce dernier qui a failli toucher les joueurs Lucas Hernandez et Benjamin Mendy alors qu’ils étaient en train de saluer la foule.
Un acte irresponsable !
Le journaliste Florian Zobenbiehler qui travail pour le journal L’Alsace, était présent dans la foule, lorsqu’il a été témoin de cette scène surréaliste qu’il a filmé avec son téléphone portable. « Lucas Hernandez et Benjamin Mendy proches de prendre un bout de bois de 30 cm en plein visage lors du défilé de l’équipe de France sur les Champs Élysées » avant que ce dernier n’ajoute « Le genre de bêtises qui expliquent pourquoi les #Championsdumonde sont passés si vite… »
Le joueur Olivier Giroud visé ?
Le journaliste du journal L’Alsace, témoin de la scène, et également correspondant pour le Parisien, s’est confié au Huffington Post en expliquant « J’étais avec mes amis dans la foule à attendre depuis de longues heures et un groupe de trois jeunes est arrivé. L’un deux tenait un bout de bois d’environ 30 centimètres. Un ami lui a demandé ce qu’il faisait avec ce bâton, et il a répondu ‘C’est pour Giroud, libérez Benzema’ en rigolant » avant de s’éloigner. Personne ne l’a vraiment pris au sérieux. Il n’avait pas l’air si bête »
Fort heureusement, le bâton n’a blessé aucun joueur mais l’incident aurait pu avoir des circonstances plus aggravantes si l’un d’entre eux l’aurait reçu au visage.