Depuis plus d’une semaine, un jeune Sdf nommé Maëlig reçoit une vague de soutien. Sa version semble aujourd’hui mise à mal.
Vol de portable et d’argent
[dropcap]L[/dropcap]e jeune Maelig, 18 ans, attire l’attention depuis qu’une blogueuse, Kim a tweeté une photo de ce jeune homme. Des centaines de personnes se sont donc mobilisés pour lui venir en aide, allant même jusqu’à soutenir le jeune homme alors qu’il était à la rue. Cependant, Le Parisien révèle ce matin que Maëlig aurait volé une de ses anges gardiens. La plaignante (dont nous ne citerons pas le nom) aurait reçu le jeune homme chez elle afin qu’il puisse dormir et se restaurer.
Celui-ci aurait quitté la maison aux environs de 22h, emportant avec lui le porte feuille et le portable Apple de la victime. Cette dernière précise qu’il a laissé ses affaires notamment une liste de numéros de jeunes femmes à contacter ainsi qu’une pipette de crack.
Ce n’est malheureusement pas la première personne qui se plaint du comportement du jeune homme. D’autres personnes ont été confrontées à des faits similaires. Il dors la journée avant de quitter les personnes qui lui tendent la main sur les coups de 20h pour rejoindre « des amis à Stalingrad »
Une histoire qui ne concorde plus
Hier, le père de Maëlig a été contacté par L’union. Jean-Louis révèle notamment : « Maëlig était en vacances à Toulon la semaine dernière, où les gendarmes m’ont appelé car il était en garde à vue ». Le père de six enfants ajoute « En juillet, il est passé chez moi, habillé en marque et nous a offerts à chacun des cadeaux de valeur. Maëlig nous a expliqué qu’il s’installait avec sa copine dans un appartement sur Paris, il avait acheté une télévision. Il a toujours voulu être le centre du monde et refusait toute autorité. Il était violent avec nous. »
De plus, comme le révèle certains internautes sur Twitter, le jeune homme a la rue depuis le 4 avril postait encore de nombreuses photos de lui datant du 5 juillet. Sur ces photos, on découvre Maëlig, prenant la pause à coté de billets, postant de nombreux commentaires, fumant ou encore mangeant au restaurant. Le mystère Maelig reste donc entier…