Elle n’a pas diffusé la bonne vidéo mais les fans de Brooke Houts ont pu constater comment cette dernière se comportait avec son chien…
Une jeune Youtubeuse américaine fait polémique depuis quelques heures. Brooke Houts qui comptabilise près de 340 000 abonnés est devenue la risée de nombreux internautes.
Et pour cause, la jeune femme de 21 ans qui réalise des vidéos aux côtés de son chien, un doberman, a récemment publié par erreur, une vidéo courte dans laquelle on peut l’a voir maltraiter son chien.
Une séquence issue de rushs (prises de vues) tournés dans son appartement qui a été depuis supprimée par la Youtubeuse. Dans cette même séquence, la jeune femme semble également crasher sur son animal de compagnie.
La vidéo vite supprimée a depuis été remplacée par la vidéo que devait diffuser la jeune femme à l’origine. Sauf que de nombreux internautes ont enregistré la séquence avant de l’a repartager à nouveau sur les réseaux sociaux. Depuis quelques jours, la jeune femme fait donc face à une polémique.
Dans la version originale de sa vidéo, Brooke Houts se montre très complice avec son doberman. Cette dernière qui décide de piéger son animal, installe un film plastique dans l’encadrement de sa porte, avant d’y entraîner le doberman. Cette version originale est toujours visible sur sa chaîne Youtube et montre la complicité entre la jeune femme et son chien.
Sauf que dans la vidéo précédente qu’elle avait publié par inadvertance, on peut voir la jeune femme violenter son chien, parce que celui-ci ne semble pas l’écouter.
Je n’ai pas craché sur mon chien
Face à l’indignation générale de la part de plusieurs internautes, Brooke Houts a été contrainte de présenter ses excuses. « Je présente mes excuses à tous ceux qui ont pu être affectés par ce montage » a écrit la jeune femme dans une longue publication qu’elle a publié sur son compte twitter. « Mon chien, en aucune façon, n’a eu mal à la suite d’actions que j’effectue dans cette vidéo » s’est ensuite défendue cette dernière avant d’ajouter « Je n’ai pas craché sur mon chien, même si je comprends que cela puisse y ressembler. »
Cette dernière a toutefois admise qu’elle n’avait pas à crier et être agressive envers son chien.