L’écroulement du mur de Berlin : Angela Merkel rappelle à conserver son autonomie et sa république en Europe

C’est dans l’église ou règne l’harmonie, la paix. Un des endroits du souvenirs où l’Allemagne était divisée en deux à l’époque du volet de fer, que la Chancelière allemande a communiqué son discours.

Ayant débuté dans la politique lors de l’écroulement du mur, et venant de l’ancienne RDA (république démocratique allemande), Angela Merkel a considéré que ce dernier faisait partit de l’histoire et nous montre qu’aucun mur qui sépare les personnes et qui réduit l’autonomie n’est pas suffisamment élevé ou grand pour qu’il puisse être sauté.

Trente années aujourd’hui après l’écroulement du mur de Berlin, ce samedi 9 novembre qu’Angela Merkel a encourager l’Europe à préserver l’autonomie et la république.

« Cela est valable pour nous tous, à l’Est comme à l’Ouest » a déclaré Angela Merkel. C’est avec un temps maussade que la Chancelière Allemande a poser une fleur devant le mur de l’humiliation à la Bernauer Strasse.

La république anarchiste et controversée

Elle était en compagnie des présidents de Hongrie, de Pologne, de la République Tchèque et de la Slovaquie, pays qui ont énormément contribuer à la démolition du mur le 9 novembre 1989. Mais il y a des communautés qui sont actuellement, sous l’agitation des polémiques, constamment dénigrés de ne pas totalement suivre les convenances de l’État.

C’est la raison pour laquelle le président de la République Allemande, Franck-Walter Steinmeier, également aux côté d’Angela Merkel, a souligné les dangers qui menacent aujourd’hui.

Avant d’aller dimanche 10 novembre 2019 à Berlin, le président français, Emmanuel Macron, a rappelé lui aussi qu’il ne fallait pas oublier l’engagement fait il y a trente années.

Une allocution communiquée en français et en allemand sur les réseaux sociaux.

Christine Hochet: