Yvelines : Une vendeuse victime d’une agression sexuelle dans une boutique du centre commercial de Vélizy 2

Le centre commercial Vélizy 2 / CC BY-SA 3.0

Une jeune femme de 20 ans a été agressée sexuellement dans la boutique de vêtements où elle travaillait à Vélizy 2 dans les Yvelines.

Son agresseur, un homme originaire d’Ouzbékistan et de passage en France, a été jugé.

Les faits remontent au 13 novembre dernier dans une boutique du centre commercial de Vélizy-Villacoublay (Yvelines), relate le site Actu.fr. Une jeune vendeuse de 20 ans a été agressée sexuellement par un homme de passage en France.

Originaire d’Ouzbékistan, l’homme âgé d’une quarantaine d’année, était entré dans le magasin de vêtement avant de discuter avec l’une des vendeuses. Ne parlant pas français, l’individu avait alors utilisé le traducteur de son téléphone portable avec la jeune femme.

Mais très vite, la situation a dérapé. Selon les dires de la victime, l’homme lui aurait d’abord pincé la joue avant de la pousser vers le fond de la boutique. Puis, ce dernier lui aurait pincé le dos tout en se collant à elle, allant jusqu’à poser sa main sur son sein gauche.

« Il m’a dit : Tu couches ? », a témoigné la victime comme le précise le quotidien. La vendeuse préviendra ensuite la sécurité qui retiendra l’agresseur jusqu’à l’arrivée de la police.

Interpellé, l’homme aurait proposé de l’argent aux policiers pour qu’il n’y ait pas de suites. Puis il aurait également proposé de dédommager la jeune victime. Lors de son interpellation, les policiers ont découvert que celui-ci était en possession de 8000 euros en espèces dans ses poches.

Le quadragénaire dément l’agression

Jugé ce mardi 3 septembre au tribunal, l’individu a soutenu avoir pincé la joue de sa victime, précisant « le faire comme pour sa fille ». Il dément toute accusation d’agression sexuelle, précisant qu’il y avait eu un mépris linguistique comme l’ajoute Actu.fr.

De son côté, la victime soutient que le comportement de l’homme « était vraiment inadapté. » Le tribunal a prononcé une peine de trois mois de sursis à l’encontre de l’individu.

Jérémy Renard: