Lyon : La fête du bac tourne au cauchemars lorsque 150 individus non-invités débarquent

La fête entre amis dégénère à Lyon

Ce devait être une soirée entre amis mais celle-ci a vite dégénérée lorsque des individus mal intentionnés se sont invités à la soirée…

Voilà pourquoi il ne faut jamais parler d’une éventuelle fête privée sur les réseaux sociaux, car cela peut vite dégénérer.

C’est le cas de cette soirée survenue samedi soir dans une résidence privée de l’Ouest lyonnais entre un groupe d’amis qui s’étaient donnés rendez-vous chez l’un d’entre eux pour y fêter leur diplôme du bac.

L’évènement avait été créer sur Facebook et la trentaine d’amis étaient venus passer du bon temps dans le jardin de l’un d’eux. Le problème, c’est que cette soirée « privée » a avait partagée sur Facebook avant qu’elle n’arrive aux oreilles d’un jeune homme qui n’était pas du convié et qui était pourtant présent ce soir là sauf que personne ne l’avait remarqué comme le rapporte Le Progrès.

L’individu appartient à un réseau très organisé et son « poste » est appelé « squatteur de soirée » comme le souligne le journal régional. Son rôle étant de vérifier sur place si les parents ne sont pas présents ainsi que l’attitude des fêtards avant de lancer l’invitation à d’autres individus.

Ils volent portables, bijoux, argents et ordinateurs

Informés de l’adresse de la soirée, 150 jeunes ont débarqué à la soirée privée avant de menacer les fêtards, voler leurs téléphones portables et de l’argent. Certains jeunes sont parvenus à entrer dans la maison avant de faire main basse sur des bijoux, de l’argent et des ordinateurs.

Prévenus rapidement, plusieurs unités de gendarmes arrivent sur les lieux pour disperser les fauteurs de troubles et limiter ainsi le pillage.

Face à ces actes, le président du conseil syndical du lotissement souhaite faire passer l’information pour éviter que ce genre d’incidents surviennent à nouveau lors de soirées privées. Les voisins du quartier devraient quant à eux trouver une lettre ce mardi, les informant des faits qui se sont produits.

Par Jérémy Renard

Jérémy Renard: