Depuis ce jeudi matin, 10 heures, les marseillais sont nombreux à exprimer leurs colères sur les réseaux sociaux à l’encontre de la plateforme Uber Eats, une opération coup de poing ayant pour but de précipiter le départ de Jacques-Henri Eyraud, le président du club.
Cette première opération a été lancée ce jeudi vers 10 heures sous les hashtag #EyraudDemission et #BoycottUberEats.
Dans un communiqué publié par les associations de supporters de l’équipe de l’OM ce jeudi matin, on peut-y lire en titre « Boycott Uber Eats France. » accompagné d’un long message expliquant les raisons de ce Boycott : « L’Olympique de Marseille dont vous êtes partenaire a décidé d’attaquer fonrtalement les supporters et le public « populaire » qui constituent l’identité de notre club. Nous vous demandons de vous désolidariser publiquement de cette action et faire pression à votre niveau pour que Messieurs Eyraud et Ouvrard respectent l’identité du club et des marseillais. » peut-on lire.
Les associations qui précisent qu’elles continueront à boycotter massivement l’entreprise de livraison qui est l’un des sponsors officiel de l’équipe marseillaise, pour faire pression sur le président du club. Cette nouvelle opération coups de poing qui fait suite à une précédente action des associations de supporters qui avaient récemment boycotté les comptes officiels du clubs.
« Nous boycotterons massivement votre société, désinstallerons votre application et appellerons nos sympathisants à faire appel à votre concurrent. » mentionnant ainsi la plateforme Just Eat, concurrente directe d’Uber Eats.
🚨 La direction de l'OM veut de simples consommateurs, alors agissons comme tels.
— 𝐕𝐢𝐧𝐜𝐞𝐧𝐳𝐨 𝐓𝐨𝐦𝐦𝐚𝐬𝐢 (@Vincent_1393) February 18, 2021
Relayez massivement la photo de gauche sous chaque post d'@ubereats_fr sur l'ensemble des réseaux avec #BoycottUberEats.
➡️ RDV demain 10h pour une autre action ! #EyraudDemission pic.twitter.com/awmVhiYV8I
Les supporters qui appellent à d’autres actions dès demain. Cinq d’entre eux sont toujours en détention provisoire après les incidents survenus à la Commanderie il y a quelques jours.
Par La Rédaction