Connu pour ses coups de gueule et ses récentes émissions de téléréalité, Moundir est l’une des figures les plus emblématiques du PAF. Malheureusement, positif au Covid-19, son état s’est dégradé allant jusqu’à devoir être hospitalisé. Sa femme Inès a donné des nouvelles à ses fans.
Celui qui pousse ses candidats à aller au bout de leurs limites a été mis KO par le Covid-19. Absent pendant plusieurs jours des réseaux sociaux, Moundir a commencé à inquiéter ses fans. Sa femme Inès Zoughari a pris le temps de donner de ses nouvelles ce mardi 23 mars via Instagram. « Il reçoit tous les soins nécessaires pour le Covid, il est sous oxygène. » a expliqué l’épouse de Moundir. Bien que son état de santé soit en train de s’améliorer, le héros « revient de très très loin et il ne lâche rien (…) À un moment donné, il s’est senti partir. »
Son épouse a aussi donné des précisions au Figaro. Moundir était à Paris le dimanche 14 mars, car il est consultant sur RMC dans une émission de poker. Il est ensuite resté dans la capitale quelques jours pour des rendez-vous professionnels. Jeudi dernier, des symptômes ont commencé à apparaître : courbature, fatigue, toux. Samedi, le couperet tombe : Moundir est positif au Covid-19. S’en suit un premier passage à l’hôpital et une mise sous oxygène.
De retour chez lui le dimanche, son état empire dès le lendemain. Il retourne alors de suite à l’hôpital où il est pris en charge dans un service des maladies infectieuses. Sous perfusion et sous oxygène, Moundir peut enfin reprendre des forces. Après des journées difficiles, l’espoir d’un prompt rétablissement est enfin possible.
L’animateur et ancien candidat de téléréalité est donc aujourd’hui dans un état stable mais est toujours hospitalisé. Sa femme Inès a demandé à ses nombreux abonnés et supporters d’avoir une pensée pour lui. Elle leur a demandé de « lui apporter tout l’amour et les prières nécessaires » pour se rétablir. Toujours aussi combatif qu’à la télévision, sa femme l’a promis : « c’est sa nature » de ne « jamais rien lâcher ».
Par Émilie Autin