Le footballeur Benjamin Mendy qui fait actuellement l’objet d’une enquête pour viols, reste en détention

Le défenseur de Manchester City, Benjamin Mendy / Capture RMC

Le défenseur de Manchester City qui est détenu depuis le 27 août dernier à la prison d’Altcourse (Nord de Liverpool) après des accusations de viols, va rester en détention jusqu’à son procès prévu pour le 24 janvier 2022.


Benjamin Mendy reste en détention ! Le footballeur international français qui évolue au poste de défenseur au sein du club de Manchester City est accusé de quatre viols et d’une agression sexuelle qui se seraient produites entre octobre 2020 et août 2021 à son domicile de Prestbury dans le Cheshire.

Ce vendredi 10 septembre, Benjamin Mendy a comparu devant le Crown Court de Chester en Angleterre dans le cadre de cette affaire. Selon Richard Place, journaliste correspondant britannique pour Radio-France qui assisté à l’audience, le footballeur va rester en détention jusqu’à la date de son procès qui est prévu pour le 24 janvier 2022 comme le précise le journaliste. « Fin de l’audience. Le fond n’a absolument pas été évoqué, les 2 accusés n’ont pas pris la parole. Une autre audience « de calage » aura lieu le 15 Novembre, le procès est prévu de 24 Janvier. D’ici là, les 2 hommes restent en détention. » écrit ce dernier sur Twitter.

Dans sa publication, le correspondant britannique évoque un deuxième homme concerné par cette affaire. Selon France Info, le deuxième homme inculpé serait âgé de 40 ans. Il sera également jugé le 24 janvier prochain. En attendant, tout comme Benjamin Mendy, ce dernier reste en détention. On ignore toutefois les liens qu’entretenaient le footballeur et le deuxième homme accusé.

De son côté, Benjamin Mendy avait formulé une demande de remise en liberté sous caution. Demande qui a été refusée par les autorités britannique.

Le champion du monde 2018 devra préparer sa défense pour le 15 novembre prochain au cours de laquelle il devra préciser notamment s’il plaide coupable ou non des faits qui lui sont reprochés.

Par Jérémy Renard

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