Le célèbre jeu de cartes américain créé en 1971 par Merle Robbins et édité par Mattel est au centre de toutes les discussions sur les réseaux sociaux après l’intervention auprès du média Konbini, de l’un des employés travaillant chez Mattel.
Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux par le média Konbini France, celui-ci est allé à la rencontre de Yannick, l’un des employés de l’entreprise Mattel qui a tenu à rappeler quelques règles élémentaires du jeu UNO dont ces dernières sont souvent bafouées.
En effet, beaucoup de joueurs ont tendance à jouer la même carte deux fois en une seule fois sauf que cela est strictement interdit, comme pour exemple : « Le +4 sur le +4 ce n’est pas possible » explique Yannick auprès de nos confrères. Il en va de même pour les cartes +2 qui ne doivent pas être enchainées les unes après les autres par un même joueur. Pourtant sur internet, de nombreuses vidéos montrent des internautes ne pas respecter ses règles alors que ces dernières ne sont pourtant pas officielles.
Pour remettre les vraies règles au goût du jour, Yannick explique que « lorsqu’on met un +2 sur la table, le joueur d’après prend deux cartes et passe son tour et ne peut jouer aucune carte. Même pas un +2… » souligne Yannick qui précise que « c’est une règle qui est irréversible. »
Yannick rappel aux joueurs que ses règles sont pourtant bien inscrites sur la notice présente dans la boîte pour éviter toute triche. « On pense à vous mais s’il vous plaît, relisez les règles. » fait savoir le salarié qui officie depuis maintenant 6 ans au sein de l’entreprise spécialisée dans les jouets et les jeux.
Yannick en profite pour rappeler quelques autres règles élémentaires du jeu comme pour la carte inversion qui n’a aucun effet en un contre un puisqu’il est tout simplement interdit de jouer deux fois de suite. Yannick rappel enfin que sur le UNO classique, on ne joue qu’une seule carte à la fois.
Ce dernier rappel également aux joueurs que le but du jeu étant de faire 500 points pour remporter une partie et sera ainsi le vainqueur du UNO.
Par Jérémy Renard