La Fondation Brigitte Bardot a gagné deux procès contre la Fédération Nationale des Chasseurs qui a été relaxée dans l’affaire des campagnes d’affichage : Chasseurs, sauvez des vies, restez chez « Chasseurs, sauvez des vies, restez chez vous ».
Le 21 octobre, la Cour d’appel de Douai, sur appel de la Fédération Nationale des Chasseurs contre le jugement rendu par le tribunal judiciaire de Cambrai le 6 mai 2021, qui avait déclaré la Fédération Nationale des Chasseurs irrecevable en son action, a définitivement validé sur le fond notre campagne d’affichage « Chasseurs, sauvez des vies, restez chez vous ».
La cour a également condamné la Fédération Nationale des Chasseurs, qui attaquait la Fondation et demandait entre autres 100.000 euros en réparation de son préjudice moral, à 2.000 euros supplémentaires au titre des frais de procédure, soit un total de 7.000 euros, toutes décisions confondues.
Le 26 octobre, le tribunal d’Arras, saisi par le Président de la Fédération Nationale des Chasseurs, Monsieur Willy Schraen, d’une procédure à l’encontre de la Présidente de la Fondation Brigitte Bardot du chef d’injure publique a constaté la prescription de son action et relaxé Brigitte Bardot de toute poursuite.
Par La Rédaction via Communiqué
Quel était le fondement de la plainte sur la campagne d’affichage de la FBB ? Un chasseur qui ne chasse pas ne tue pas. Pas d’animaux et pas d’accidents de chasse….
La chasse existera toujours de toute façon
Sauf que le tribunal judiciaire de Paris à condamnée la LPO à 7000€pour la FNC et 7000€ pour son agence de communication..
Bravo de cette victoire contre des êtres inhumains
Bravo !!! Enfin une bonne nouvelle dans cette époque si difficile pour notre faune!!
Yessss. Je suis très très contente. A bas la chasse. A plat ventre !!!!
Trop contente 👍🤗
Je suis très contente d’apprendre que la justice n’a pas condamné la Fondation Brigitte Bardot pour sa campagne d’affichage qui n’avait rien d’injurieux ou de calomnieux. Monsieur Willy Schraen devrait réfléchir à deux fois avant de porter plainte.