Mobilité urbaine : les différents atouts des nouvelles formes de transport

Une jeune femme sur une trottinette électrique / Photo : Elvert Barnes Flickr / CC BY-SA 2.0

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La mobilité urbaine se transforme dans plusieurs grandes métropoles grâce à l’arrivée de nouvelles formes de transport.


Ces dernières années, notre quotidien a été bouleversé lors de nos déplacement en milieu urbain. Si les usagers restent majoritaires dans l’utilisation des transports en commun classique, tel que le métro, le bus ou encore le tramway, ils sont de plus en plus nombreux à avoir changé leur mode de déplacement, grâce à l’arrivée de nouvelles mobilités.

C’est essentiellement dans les plus grandes villes de France que la mobilité urbaine a pris un tout autre virage. Pour faire face à différents enjeux, (embouteillages…, pollution…, stress..), les franciliens sont nombreux à avoir changé leurs méthodes de déplacement.

L’arrivée des vélos et trottinettes électriques y sont pour quelque chose. Plus ergonomiques et moins chers qu’une voiture, ces produits 2.0 connaissent un succès sans précédent. D’une part, parce qu’ils ne polluent pas et permettent une mobilité douce, moins stressante qu’un déplacement en voiture pour les petits trajets dans les grandes villes.

Le succès de ma mobilité urbaine partagée entre usagers

Si pour de nombreux usagers, la voiture reste encore très majoritaire pour les déplacements dans les villes, les franciliens qui pourraient être réticents face à nouvelles mobilités, se sont quant à eux tournés vers la mobilité partagée. Une mobilité qui permet de réduire ses coûts de déplacement grâce aux nouveaux systèmes de covoiturage ou d’autopartage.

Cette nouvelle forme de déplacement qui dispose d’un atout majeur, puisqu’elle réduit considérablement la circulation des voitures individuelles, permettant ainsi de désengorger les zones urbaines à fort densité. L’autre atout de l’autopartage, permet aux citadins de pouvoir bénéficier d’un véhicule, sans avoir à débourser des frais supplémentaires, ce qui représente un aspect financier important en moins pour les usagers qui ne souhaitent pas investir dans l’achat d’un véhicule, par exemple.

Le Covid-19 responsable de la mobilité individuelle

La crise sanitaire qui a frappé la France de plein fouet à la fin de l’hiver 2020, a contraint les autorités à limiter les déplacements des français sur l’ensemble du territoire. La majorité d’entre eux ont été obligés de télétravailler à distance, ce qui a poussé ces derniers à changer de mode de vie. Cette pandémie a été l’occasion pour les sociétés en charge de l’entretien des chaussées et des axes routiers, à entreprendre d’importants travaux de rénovation pendant la période de confinement. Des travaux qui ont été principalement réalisés sur les axes habituellement très fréquentés avant l’arrivée du virus en France.

Aujourd’hui, les français qui ont repris partiellement ou totalement leur activité sur site, sont de plus en plus nombreux à adopter ces nouvelles formes de mobilité. Mais face à ces nouveaux déplacements, la gestion du trafic devient un casse-tête à gérer pour les autorités pour que piétons, cyclistes, trottinettes et véhicules puissent partager les mêmes axes de circulation sans encombre.

Par Jérémy Renard

Jérémy Renard: