Vif échange entre Gérald Darmanin et la journaliste Apolline de Malherbe sur BFMTV : « Ne vous vexez pas ! Calmez-vous, ça va bien se passer ! »

Face à face très tendu ce mardi matin entre Apolline de Malherbe et Gérald Darmanin / Capture BFMTV - RMC

Ce mardi matin, Apolline de Malherbe recevait le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin sur BFMTV et RMC.


Une interview qui a été marquée par une séquence particulièrement tendue entre le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, et la journaliste quand cette dernière a évoqué les mauvais chiffres de la sécurité en France.

Des chiffres « tellement en hausse que l’on parle d’explosion » a lancé Apolline de Malherbe au ministre de l’Intérieur qui lui a répondu : « J’ai regardé votre logo : je pensais qu’on était sur CNews, mais on est bien sur BFMTV. ».

Une réponse à laquelle la journaliste lui a répondu : « Je ne vois pas le rapport. Je vous parle des atteintes aux personnes ». La situation s’est rapidement tendues quand l’homme politique lui a alors lancé : « Votre présentation est très rapide et un peu populiste. Ne vous vexez pas ! Calmez-vous, ça va bien se passer ! »

Je vous demande pardon ! Gérald Darmanin… Je vous demande pardon ? Comment vous me parlez ?

Apolline de Malherbe face à Gérald Darmanin ce mardi 8 février sur BFMTV et RMC.

Apolline de Malherbe qui ne s’attendait pas à un tel pic du ministre de l’Intérieur, lui a alors lancé : « Je vous demande pardon ! Gérald Darmanin… Je vous demande pardon ? Comment vous me parlez ? »

Gérald Darmanin, a alors tenté d’apaiser la situation tout en expliquant son agacement face aux propos de la journaliste : « Ça va bien se passer madame. Vous allez voir… J’en ai marre des discours populistes toute la journée. Vous n’évoquez même pas la baisse des biens, des cambriolages… Vous ne souhaitez pas que je réponde ? »

La journaliste, qui a été très énervée sur la façon dont lui a répondu le ministre de l’Intérieur, n’a pas mâché ses mots, expliquant : « Non, je trouve ça sidérant votre manière de répondre. Ce n’est pas une réponse. C’est presque une offense. »

Pour mettre fin à cet incident, le ministre a de son côté répondu : « Ne vous vexez pas : je réponds comme vous m’agressez (…) »

Une séquence que nous vous proposons de revoir ci-dessous :


Par La Rédaction

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