Un jeu mobile des Lapins Crétins investit les jardins du Château de Versailles

L'application des Lapins Crétins en réalité augmentée disponible au Château De Versailles / Photo E.C Actumagfr

Jouer aux Lapins Crétins tout en visitant les jardins du Château de Versailles, c’est désormais possible grâce à cette application mobile développée par Ubisoft.


L’entreprise française de développement, d’édition et de distribution de jeux vidéo, Ubisoft, vient de créer un application mobile dédiée à l’univers des Lapins Crétins, en partenariat avec le Château de Versailles (Yvelines).

Une application gratuite, accessible dès 8 ans, qu’il est possible de télécharger sur IOS et Android. Une fois lancée dans les jardins du Château, l’application vous géolocalise et vous propose un parcours sous forme de chasse au trésor sur les traces d’un mystérieux Lapin Louis XIV. Pour le débusquer, vous devrez effectuer différents mini-jeux comme tirer sur des ballons de montgolfière, réaliser un puzzle avec le parterre l’Orangerie du château ou encore de tailler les bosquets du jardin à la française.

Cette application qui s’intitule « The Lapins Crétins @ Versailles » est accessible en cinq langues et propose une dizaine de mini-jeux pour les enfants qui pourront également en apprendre plus sur l’histoire de Louis XIV.

« J’adore le concept de ce jeu qui permet de m’amuser à chasser des Lapins Crétins tout en apprenant l’histoire des jardins de Louis XIV. » nous confie Théo, portable en main, ce mercredi dans les allées du château.

Ce jeu ouvert a toute la famille ne fonctionne uniquement dans les jardins du Château de Versailles, grâce à son système de géolocalisation. L’application mobile a été créer à l’occasion des 15 ans de la licence Lapins Crétins. En effet, ces petits lapins aux cris souvent ravageurs ont vu le jour en 2006 au sein du studio de développement d’Ubisoft basé à Montpellier.

Au total, ce sont 20 millions de jeux vendus à travers le monde des Lapins Crétins qui ont conquis un public large.

*Le prénom a été changé

Par Jérémy Renard

Jérémy Renard: