Affaire Adrien Quatennens : le député de la France insoumise a reconnu avoir giflé sa compagne

Le député de la France Insoumise, Adrien Quatennens / Capture France 2

Depuis quelques jours, l’affaire Adrien Quatennens fait polémique au sein des rangs de la NUPES.


C’est une affaire dont se serait bien passé la France Insoumise. L’affaire Adrien Quatennens a en effet été révélée il y a quelques jours par le Canard enchaîné après la plainte de l’épouse à l’encontre du député LFI du Nord.

Céline Quatennens avait en effet déposée une main courante « après une dispute » selon nos confrères. Une information depuis confirmée par le couple via un communiqué de presse après ces révélations dans la presse.

Si Adrien Quatennens affirmait dimanche qu’il ignorait le contenu de cette plainte, ce dernier a tenu à s’exprimer via un long communiqué qu’il a partagé sur ses réseaux, pour expliqué publiquement ce que sa femme pouvait lui reprocher.

Une gifle qu’il dit regretter !

« Aujourd’hui, des interrogations ont été créées sur la nature des faits qui pourraient m’être reprochés (…) » explique ce dernier qui a tenu à détailler publiquement la relation de son couple qui semble s’être récemment ternie comme l’explique le député. Sa femme lui a en effet annoncé sa volonté de divorcer après 13 ans de vie commune.

Une situation difficile pour le débuté qui explique avoir « souffert » de cette décision. Dans ce même communiqué, Adrien Quatennens explique également avoir eu des gestes violents envers sa femme, dont une gifle qu’il lui aurait porté au cours d’une énième dispute. « Dans un contexte d’extrême tension et d’agressivité mutuelle, j’ai donné une gifle. Je l’ai donnée alors que cela ne me ressemble pas et cela ne s’est jamais produit. » détaille ce dernier qui explique avoir « profondément regretté son geste » et s’être excusé à maintes reprises auprès de son épouse.

Nos confrères du 20 Minutes précisent que le parquet de Lille a confirmé avoir été saisi par la main courante déposée par Céline Quatennens et de l’ouverture d’une enquête judiciaire dans le cadre de sa « politique pénale volontariste pour le traitement des violences conjugales ».

La Rédaction

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