Le chanteur français s’est attiré les foudres de plusieurs internautes après ses propos sur les cyclistes dans l’émission 20h30 le dimanche sur France 2.
Il n’aime visiblement pas les vélos… Invité ce dimanche soir sur le plateau de France 2, le chanteur Michel Sardou qui a annoncé jeudi dernier au micro de RTL, qu’il allait retrouver son public après sa tournée d’adieu d’avril 2018, n’a pas mâché ses mots envers les cyclistes dans l’émission de Laurent Delahousse.
Connu pour son franc parlé, Michel Sardou qui est interrogé pour savoir si « c’était mieux avant », n’a pas hésité à dire ce qu’il pensait sur la circulation et notamment sur les cyclistes : « C’était aussi mal avant ! Y’avait la grève, y’avait la guerre, y’avait des problèmes de fric… Mais on était pas emmerdé sur les autoroutes, on pouvait roulait à 180 sans que personne ne vous dise rien ! Y’avait pas les trottinettes qui vraiment nous les cassent. Y’avait pas les vélos qui grillent tous les feux rouges. » avant que ce dernier n’ajoute « Le prochain je me le fais ! »
Suite à ses propos, de nombreux internautes n’ont pas manqué de réagir sur les réseaux sociaux comme nous avons pu le constater :
« Je hais cette époque ! Je hais ce siècle, j’aime pas du tout »
Ce n’est pas la première fois que Michel Sardou exprime son mécontentement envers la société actuelle. En septembre 2019, alors qu’il était invité de RTL, le chanteur français avait déclaré « haïr cette époque ».
« Je hais cette époque ! Je hais ce siècle, j’aime pas du tout » avait ainsi déclaré Michel Sardou au micro de RTL. L’une des chroniqueuses de l’émission lui avait alors demandé : « mais qu’est ce qui vous irrite ? » Réponse du chanteur : « tout ! » avant que ce dernier ne justifie ses propos par :
« On a plus aucune liberté. Rappelez vous des années 70-80, on fumait, on faisait l’amour, on roulait vite, on pouvait boire, le théâtre marchait, les affaires marchaient. » explique Michel Sardou qui ajoute « Maintenant, tout est des réseaux sociaux ridicules où des gens s’expriment quelque fois bien, mais très souvent c’est des abrutis (…) »
La Rédaction