Loin d’une simple querelle entre camarades, cette fois-ci c’est une mère de famille qui est à l’origine d’une violente agression envers un jeune enfant de 10 ans, camarade de classe de son fils. La vidéo montrant les faits indigne la toile et circule en masse sur les réseaux sociaux.
Agression verbale et physique, gifle et insultes, c’est ce qu’a subi un jeune garçon de la part d’une mère de famille de 40 ans. Les faits se sont déroulés à Boissy-Saint-Léger dans le Val-de-Marne. Le motif ? La mère accuse le jeune garçon d’avoir agressé son fils… Et a décidé d’agir de la même manière qu’un enfant de 10 ans. Selon l’AFP, les faits ont eu lieu ce 20 septembre, proche du collège Blaise-Cendrars devant plusieurs témoins.
« Vas-y, tabasse-le »
La vidéo est violente ! Dans cette dernière, relayée par nos confrères du Parisien, on peut y voir une femme gifler violemment un jeune garçon, lui ordonnant de se mettre à genoux et lui arrachant ensuite ses lunettes. L’affaire monte crescendo dans l’horreur, après avoir giflé l’enfant la mère demande à son propre fils de « tabasser » le jeune garçon. Tout bon sens semble être perdu comme en témoignent les images ci-dessous :
Un jugement prévu pour le 22 décembre
Suite aux faits, les parents de la victime, choqués et indignés, ont tout de suite porté plainte, utilisant la vidéo comme preuve. La source exacte de la vidéo est quant à elle inconnue. La mère de famille a été placée en garde à vue dès le lendemain des faits pour « faits de violence sur mineur de 15 ans, suivis d’incapacité n’excédant pas huit jours, provocation directe de mineur de 15 ans à commettre un crime ou un délit, injure publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion et menace réitérée de violences » selon le parquet de Créteil. Libéré le samedi 23 septembre, la femme est actuellement sous contrôle judiciaire. Quant à son jugement, le parquet n’a pas perdu de temps et à annoncer que l’accusée sera jugée « le 22 décembre à 13h30 ».
En plus de son futur jugement, la femme est interdite d’approcher la victime et son représentant légal ainsi que leur domicile. Le jugement de cette affaire reste donc à suivre…