L’ancienne chroniqueuse de TPMP, Enora Malagré, connue pour son franc caractère, a donné son point de vu concernant le concours Miss France. Une réponse qui n’a pas du tout plus à Camille Cerf, Miss France 2015 qui n’a pas tardé à lui répondre.
On dit que l’opinion publique fait l’unanimité, mais pas toujours. Une chose est sûre Camille Cerf et Enora Malagré n’arrivent décidément pas à se mettre d’accord.
Les échanges fusent sur les réseaux sociaux entre l’ancienne chroniqueuse de Cyril Hanouna, Enora Malagré, qui connue pour son engagement et son militantisme, qui veut combattre toute forme de discrimination, et l’ancienne Miss France 2015 qui elle y voit un concours de beauté comme une belle expérience et une opportunité.
Alors que ce samedi 19 décembre, Amandine Petit a été élue Miss France 2021, Enora Malagré s’est exprimé sur le concours de beauté qui été suivi par des millions de français. Pour la jeune femme, cette cérémonie est « archaïque, idiot, et sexiste. » comme elle l’a déclaré dans l’une de ces récentes story Instagram : « Depuis 100 ans ce concours distille dans la tête de nos petites filles que la femme est valorisée par son physique. La femme potiche qui doit bien ‘se comporter. » avant que celle-ci n’ajoute « Vous trouvez ça divertissant ? Se divertir en faisant défiler des femmes et les juger comme des vaches au salon de l’agriculture… Moi je ne le supporte plus. »
Suite aux propos d’Enora, Camille Cerf « En même temps on s’en fiche un peu de l’avis d’EnoraMofficiel non ? »
En même temps on s’en fiche un peu de l’avis d’@EnoraMofficiel non ? https://t.co/0YqW2p8mYU
— CamilleCerf (@CamilleCerfOff) December 20, 2020
Une réponse à laquelle Enora s’est empressée de réagir dans l’un de ses dernières story Instagram : « Si tu t’en fous de mon avis chère @Camillecerf, pourquoi tu le commentes ? (…) » a rétorqué cette dernière. Visiblement, l’entente entre les deux jeunes n’est pas de mise. On espère que ces dernières parviendront à enterrer la hache de guerre concernant ce concours de beauté qui a été célébré cette année dans des circonstances complètement différentes des années précédentes, en raison de la crise sanitaire.
Par Gherbi Dourra