Une prise de position importante pour la présentatrice qui regrette avoir porté de la fourrure par le passé et encourage d’autant plus le public à se renseigner et à vérifier les étiquettes.
Des enquêtes au sein de nombreux élevages de fourrure partout dans le monde montrent des conditions insalubres et cruelles et une souffrance extrême, avec des animaux à qui il manque des membres, qui ont des blessures ouvertes non traitées et suppurantes, et qui présentent les signes d’une grave détresse psychologique. En plus d’être à l’origine de la mise à mort violente de millions d’animaux, l’industrie de la fourrure est directement impliquée dans la propagation du nouveau coronavirus. Des clusters de la maladie sont apparus dans des élevages de visons dans une dizaine de pays, dont la France. PETA demande aujourd’hui à ce que soient urgemment fermés les 3 élevages de visons encore en activité sur le territoire, et que le gouvernement aide les éleveurs à se reconvertir à une activité qui ne cause pas de souffrances aux animaux.
Karine Ferri succède à de nombreuses personnalités
PETA, dont la devise dit notamment que « les animaux ne nous appartiennent pas et [que] nous n’avons pas à les utiliser pour nos vêtements » s’oppose au spécisme, idéologie qui postule une fausse supériorité des humains sur les autres animaux. Karine Ferri rejoint Penelope Cruz, Gillian Anderson, Eve Angeli, P!nk, Pamela Anderson, Eva Mendes et bien d’autres personnalités qui se sont jointes à PETA et à ses affiliées internationales pour dénoncer la cruauté de la fourrure.
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Par La Rédaction avec PETA