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Le travail du sexe n’a pas été épargnée par la pandémie. Pour contrer les difficultés de la crise sanitaire, des escort girls mentionnent leur preuve de vaccination sur leur profil, le « certificat Covid », afin de rassurer les clients.
L’industrie du sexe en quarantaine
En cette période nerveuse de « confinement » et de « gestes barrière », les clients de la prostitution prennent leurs distances. Comme de nombreux secteurs d’activité depuis le début de la crise sanitaire, le travail du sexe « en face à face » souffre d’une baisse de trafic.
Aujourd’hui, pour lutter contre la propagation de la pandémie, l’heure est au télétravail et à la distanciation physique. Les conséquences sont plutôt évidentes pour les métiers du sexe. Difficile de faire tourner son commerce dans les conditions actuelles quand la nature même du métier demande à côtoyer des personnes à moins de deux mètres. Ce sont donc les salons de massages et les bars de danseuses, longtemps fermés dans un grand nombre de pays, mais également les travailleurs indépendants qui subissent la situation. Résultat : une perte de revenus et une augmentation de la précarité dans le milieu de la prostitution. Au bout de quelques mois, le bilan est frappant. Un coup dur pour le travail du sexe, mais les indépendants ne se laissent pas abattre. Celui qui survit, c’est celui qui s’adapte, comme disait Darwin. Outre le sexe virtuel et le retour des téléphones roses, certaines et certains ont trouvé le moyen de reprendre du service.
À l’ère du sexe 2.0
Le monde économique et social change. Les lois transforment les commerces qui déclinent ou rebondissent selon les opportunités qui s’annoncent ou disparaissent. Quand les flux des sites pornographiques explosent pendant le confinement, d’autres activités comme la prostitution accusent le coup. Trente-six millions, c’est le nombre de sextoys connectés type vibromasseurs vendus en 2020, contre 19 millions en 2019. Avec le confinement, le sextech est passé de secteur de niche à industrie mondiale. L’anxiété et la frustration d’un quotidien enfermé a modifié les tendances sexuelles des uns et des autres. Cette explosion du marché du gadget sexuel technologique est née d’un besoin de réconfort et de liberté que la vie ne pouvait plus donner. Les gens recentrent leurs besoins sur le bien-être et moins sur le paraître.
Alors on surfe sur cette nouvelle vague pour s’éviter toutes celles du coronavirus. Tout passe par internet, commandes de sextoys comme services sexuels en vidéo. Mais la webcam a aussi ses limites. Tout le monde n’a pas la fibre pour visionner correctement les vidéos. Tout le monde ne fait pas confiance au paiement en ligne. Tous les travailleurs indépendants n’ont pas le matériel adapté et l’espace privé pour tourner. Aussi, pour que le commerce fonctionne, il faut généralement s’appuyer soit sur ses clients déjà existants, soit sur sa notoriété via les réseaux sociaux. Les prostitués des salons de massages ou celles de rue n’ont pas forcément pu se forger cette réputation. Autre chose, les travailleurs du sexe continuent à recevoir des demandes de rencontres en personne. En effet, si la pandémie force l’évolution des pratiques, beaucoup ne se satisfont pas de l’écran et recherchent une expérience en chair et en os.
Alors le sexe est-il passé à l’ère du 2.0 ? Y a-t-il encore moyen de profiter de prestations érotiques en personne en toute sécurité pendant la crise sanitaire du coronavirus ? Dans le milieu de la prostitution, il faut savoir être créatif… et prendre les devants.
Des escort girls certifiées Covid chez BemyGirl
Nous sommes le 6 juin 2020 en Suisse : les commerces rouvrent et les mesures sanitaires s’assouplissent. La prostitution, qui est légale dans ce pays, se remet doucement en marche. Pourtant, force est de constater une chose. Les clients se font plus rares. Avant de contacter une personne pour des services érotiques, parfois ils se posent la question : « Est-elle vaccinée ? » avec une certaine réticence.
La start-up ambitieuse BemyGirl n’a pas attendu pour se pencher sur le sujet. Dorénavant, ses escort girls indépendantes ont la possibilité de mentionner ou non le fait qu’elles sont vaccinées contre la Covid-19. Quand c’est le cas et qu’elles préfèrent informer la clientèle au préalable, un pictogramme en forme de virus sur un bouclier bleu apparaît à côté de leur nom, sur la page de recherche. Il y est indiqué « Certificat Covid contrôlé par BemyGirl », ce qui signifie que les administrateurs du site ont vérifié que l’escort girl en Suisse a bien été vaccinée contre le coronavirus. Alors que le vaccin n’est pas requis, ni pour les clients ni pour les prostituées, cette start-up entend se démarquer avec cette nouvelle mention. Elle annonce une progression de 25 % des visites sur le site web depuis la campagne de vaccination. La communauté a atteint les 35 000 membres, et un nombre grandissant de demandes de non-professionnelles pour devenir escort girl en Suisse.
Mais ce n’est pas la seule originalité de BemyGirl ! Cette plateforme digitale met en relation une escort girl et son client, sans le moindre intermédiaire. Aucune commission n’est prélevée. Le site web ne vit qu’avec la publication des profils. La start-up prône également le respect de la femme, raison pour laquelle l’équipe de photographes de BemyGirl rencontre chaque escort pour lui créer un profil artistisque et élégant, en accord avec ses souhaits. L’idée est de ne pas dénaturer sa beauté, ni de déshonorer sa personne. Aujourd’hui, la plateforme de rencontres érotiques suisse a plus de 7 000 shootings photo professionnels à son actif. En résumé, les clients sont assurés de retrouver la personne qui figure sur les photos du profil, qui correspond à leurs attentes et qui présente, s’ils le souhaitent, la preuve de sa vaccination. Une plateforme idéale pour faire des rencontres érotiques en toute sérénité.