Dans un communiqué publié ce lundi 5 février, le palais de Buckingham, a fait savoir que le roi Charles III souffrait d’un cancer sans donner plus de détails sur la nature de ce dernier.
L’annonce a fait le tour des tabloïds anglais et des médias du monde entier. Ce lundi 5 février, la Cour Britannique a publié un communiqué, annonçant que le roi, Charles III, était atteint d’une « forme de cancer ».
Il ne s’agit toutefois pas d’un cancer de la prostate comme l’a précisé le Palais, contrairement à ce qu’indiquaient plusieurs médias britanniques et français, ce lundi en début de soirée. On ignore d’ailleurs de quel cancer est atteint le roi d’Angleterre dont ses prochains engagements publics sont reportés.
« Au cours de la récente intervention hospitalière du roi pour une hypertrophie bénigne de la prostate, un problème distinct a été constaté » et des « tests ultérieurs ont permis d’identifier une forme de cancer », a fait savoir le palais dans son communiqué. Selon Buckingham Palace, le roi « reste totalement positif quant à son traitement et espère reprendre pleinement ses fonctions publiques dès que possible ».
Charles III avait été hospitalisé à la London Clinic le 27 janviers 2024 pour y subir une opération de la prostate.
Une révélation rapide de sa maladie pour éviter toute spéculations
Pour éviter que sa vie privée ne soit exposée au grand public avec de fausses informations, Buckingham Palace a expliqué avoir « choisi de partager son diagnostic pour éviter les spéculations et dans l’espoir que cela puisse aider le public à comprendre tous ceux qui, dans le monde, sont touchés par le cancer ».
Suite à l’annonce de son cancer, de nombreux présidents se sont exprimés sur les réseaux sociaux pour souhaiter à Charles III, un prompt rétablissement, comme le président américain, Joe Biden ou encore le président français, Emmanuel Macron.