Depuis quelques jours, la capitale s’active à régler les derniers détails des Jeux Olympiques de 2024. Voici quelles seront les mesures de sécurité mises en place dès vendredi pour la cérémonie d’ouverture :
Vous le savez, les Jeux Olympiques débutent ce vendredi 26 juillet 2024 à Paris après une la traditionnelle cérémonie d’ouverture qui risque d’être l’une des plus importantes jamais organisée par un pays.
Et pour que les festivités se déroulent dans les meilleures conditions, un impressionnant dispositif de sécurité a été mis en pace.
L’espace aérien fermé dans un rayon de 150 kilomètres autour de Paris
Dès 18H30 ce vendredi, l’espace aérien sera fermé dans un rayon de 150 km autour de la capitale. C’est à dire qu’aucun avion ne pourra décoller ou atterrir dans un aéroport proche de Paris (Orly, Roissy, le Bourget ou encore l’aéroport de Beauvais).
L’espace aérien autour de la capitale sera donc complètement fermé et des militaires seront chargés de surveiller cet espace et prêts à intervenir si un appareil tentait de pénétrer dans cette zone durant la soirée.
45.000 policiers et gendarmes à Paris
Au sol, des policiers équipés de fusils brouilleurs ayant une portée de plusieurs kilomètres, veilleront à ce qu’aucun drone ne viennent perturber la cérémonie.
Toujours au sol, ce sont pas moins de 45 000 policiers et gendarmes qui seront déployés dans les zones restreintes de la capitale. Aucun véhicule motorisé ne pourra entrer dans les zones en questions. Ces derniers seront épaulés par 1800 policiers venus de pays étrangers.
86 bateaux de police sur la Seine
Sur la Seine, 86 bateaux viendront assurer la sécurité des 94 bateaux qui défileront pour la cérémonie d’ouverture. Des bateaux qui seront contrôlés par des équipes cynophiles quelques heures avant le début des festivités.
Dans la Seine, des sonars ont été installés par l’armée pour détecter tout objet non identifié. Des barrières nautique anti-intrusion qui ont été mises dans la Seine, seront déployés pour éviter que des personnes puissent aller dans l’eau.
