Accablée par les violentes émeutes de Barbès et Sarcelles, la classe politique appelle à une mobilisation générale. François Hollande a reçu les représentants des cultes à l’Élysée ce lundi.
«Une horde de sauvages, des gens qui ont décidé très jeunes de basculer dans un antisémitisme primaire et de l’exprimer à visage découvert, en plein jour, en s’attaquant à une synagogue.»
C’est en ces temps que s’est exprimé le maire socialiste de Sarcelles (Val-d’Oise), François Pupponi, au lendemain des émeutes dans sa ville. Un déferlement de violences qui a suscité des réactions controversées au sein de la classe politique.
Le président a rappelé que la lutte contre l’antisémitisme était une priorité nationale.