Laissée à l’abandon et ainsi soumise d’autant plus aisément aux dégradations du temps, depuis l’implantation d’une centrale nucléaire dans sa périphérie, la ville belge de Doel s’est vidée entièrement de sa population suspicieuse à l’extrême. Cette mesure de précaution que certains jugeront peut-être exagérée a été cependant bénéfique sur un point. Lequel, allez-vous me demander ?
En Belgique, le village abandonné de Doel est devenu le repaire des artistes graffeurs par Gentside
C’est l’art qui a permis une réhabilitation de la cité déserte. Les amateurs de street art en ont fait leur terrain de jeux géant en redonnant une seconde vie aux murs des maisons, supports de leurs œuvres. Les graffeurs, équipés de leurs moyens d’expression en main, peuvent y déployer tout leur talent comme en témoigne la galerie de photographies que nous vous proposons de découvrir.
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